Il s’est ouvert le lundi 29 janvier 2024, la plénière de la session inaugurale à l’assemblée nationale. La cérémonie a compté 402, sur 477 députés nationaux ayant siégé. Prenant part, l’élu de Funa, Adolphe Amisi Makutano a bougé le cocotier au sortir de cette session inaugurale.
Devant la presse, ce président national de la ligue des jeunes de l’Union pour le Démocratie et le Progrès Social UDPS, a de prime à bord loué la tenue de la session inaugurale déroulée dans le respect des textes. « Mes impressions sont bonnes. Comme vous le savais, constitutionnellement parlant, après la publication des résultats provisoires, il est recommandé à l’administration de l’assemblée nationale, de convoqué une réunion extraordinaire après 15 jours. Premièrement, c’est ce qui a était fait et ceux qui sont convié à ça, ce sont les députés que nous sommes, mais, je pense que c’est un début, c’est une procédure normale et bien entendu, nous allons suivre la validation de mandant de la confirmation par la cour constitutionnelle. Donc, ce n’est qu’un début, mais nous sommes déjà là, parce que nous avons dit, on ne sera jamais pressé, mais on est toujours prêt », a-t-il déclaré.
Profitant de l’occasion, il a adressé ses remerciements à sa base ainsi qu’à tous ses électeurs. « Je ne peux qu’adresser le message de remerciement à toute ma base, elle a été magnifique, très déterminée, pour que nous habitions pendant 5 ans cette chambre prestigieuse, que nous appelons l’assemblée nationale ».
Et de poursuivre : « deuxièmement, je serais toujours avec eux pour écouter ce qu’ils vont nous dire, parce que, c’est ce qui vont composer la matière que nous viendrons défendre au niveau de l’hémicycle et donc, un grand merci à eux, je suis leur frère, je suis leur enfant, leur grand frère. Ils m’ont aimé tant et aujourd’hui, ils m’ont poussé où je suis, il me revient aussi d’être reconnaissant et je le serais pour toujours », a-t-il assuré.
Prenant le torro par le corne, l’élu de Funa, Adolphe Amisi a exposé son idéal pour que les erreurs du passées ne soient répétées, selon le discours du Chef de l’État lors de son investiture. « Je crois les attentes peuvent être dans le rendez-vous qui viennent. Parce que, comme vous le savait, on a rien travaillé, on a rien parlé, on n’a pas parlé. Nous avons beaucoup des problèmes et bien attendu, avec la complicité du discours du président de la république qui a voulu que les erreurs du passées ne puissent pas être réitérées, nous y veillerons, un pour l’exécutif et deux pour les gens qui vont prendre des décisions pour les lois de la république et nous y sommes, nous ne serons jamais pressé », a-t-il souligné.
MI
