
Le ministère de l’Éducation nationale et de la Nouvelle Citoyenneté traverse une zone de turbulences sans précédent. Les dénonciations répétées du leader kinois et lanceur d’alerte Timothée Lenoir Efika commencent à faire tomber des têtes.
Au cœur de la tempête : Matthieu Mukenge Batina, secrétaire général ai dudit ministère, récemment suspendu par le Conseil d’État. Cette décision survient après une série de révélations sur un présumé réseau de détournement organisé au sein de ce secteur clé pour l’avenir de la nation.
Face à la gravité des faits, Timothée Lenoir appelle la justice congolaise et le Conseil d’État à aller plus loin dans les investigations. Il exige des audits ciblés sur plusieurs hauts responsables, notamment :
• Éloi Kumbu de la DINAC,
• Kimbonza Sefu Hubert de l’Inspection Générale,
• Pasteur Boniface Mbaka de la DINACOPE,
• et d’autres complices présumés.
Le lanceur d’alerte insiste : « L’heure de l’État de droit, pilier de la politique du Président Félix Antoine Tshisekedi Tshilombo, doit véritablement sonner. Il est temps de sanctionner les responsables pour garantir le succès de la gratuité de l’enseignement, priorité du Chef de l’État. »
Une affaire explosive qui pourrait bien provoquer un séisme au sommet de l’appareil éducatif congolais.
Changement7.net