Ceci n’est pas un mythe, mais plutôt une triste réalité !
« Qui n’a jamais rencontré de ces cas vraiment décevants : un tel qui a été vingt, trente ans durant, un excellent chrétien, voilà que soudain il retourne aux pratiques de ses ancêtres. Hypocrisie ? Peut-être ! Telle brave chrétienne ne peut se passer de certains rites qu’elle sait néanmoins défendus sub gravi. Menaces et raisonnements peuvent lui arracher des promesses mais à la prochaine venue d’un bébé au monde, par exemple, elle retournera à ses “superstitions” »
Avec la montée en puissance de la modération dans les sociétés africaines d’une part et la puissance de la religion d’autre part, plusieurs habitudes ancestrales commencent peu a peu à perdre leurs ampleurs.
Tout le monde préfère se faire appeler « Chrétien » qu’être lié à des conditions ancestrales, qui, pour plusieurs, n’ont plus un impact considérable sur la religion qui laisse croire que » si tu crois , tu seras sauvé toi et toute ta famille ”
Apparemment, les pratiques héritées des ancêtres continuent pour beaucoup d’être une référence obligée, même s’il est vrai qu’aujourd’hui on s’interdira le plus souvent de parler de « superstitions » et qu’à moins d’être un canoniste chevronné, on ne sait plus très bien ce qu’est une interdiction sub gravi.
Tel est le cas du jeune homme Blaise Blaise Bulabula, jeune congolais natif de la mission mokala, territoire de Bulungu dans la province de kwilu, où il a également fait ses études primaires et secondaires.
RECHERCHE DE L’INTRONISATION DE BLAISE BLAISE BULABULA
En effet, après ses études secondaires, il rejoint Kinshasa la capitale pour poursuivre ses études universitaires dans l’une de prestigieuses universités de Kinshasa à savoir, l’institut supérieur d’architecture et d’urbanisme ( ISAU) de Kinshasa.
Avec succès, il obtient son diplôme Universitaire et commence sa vie comme tout jeune congolais.
Ayant grandi au village, en 2021, l’année qui a plus que jamais sombré la vie de Blaise Blaise Bulabula, il recevra un appel pour un Come bak au village avec comme motif cette fois-ci, son intronisation dans le pouvoir ancestrale pour occuper d’autres responsabilités, source de malheur !
Notons que du côté de sa mère tout comme de son père, tous biologiques, Blaise Blaise Bulabula était appelé d’une part par au village mikingi ( Maman) et d’autre part au village mayoko sakasaka.
À savoir, Jacques Sima député honoraire et chef coutumier dans le village mikingi, José Mayele un Major de la police nationale congolaise, Dias Diankudi Directeur Général de IPS Dula et Kibala Faustin, tous habitants à Kinshasa, sont les principales personnes qui ont tenté s’introniser le nommé Blaise Blaise Bulabula au pouvoir ancestrale contre sa volonté du côté de sa mère
Tandis que le professeur Bulabula de l’université de Kinshasa et Mr Manuel Bulabula mettraient la pression pour donner le pouvoir du côté Papa à Blaise Blaise Bulabula.
Se sentant à une impossibilité d’occuper une telle responsabilité partant de ses croyances religieuses liées au christianisme, Blaise Blaise Bulabula décida de décliner ces responsabilités contre toutes attentes familiales.
DÉBUT D’UNE GUERRE QUI LUI COUTE LA VIE !
Blaise Blaise Bulabula, alors chrétien de son état, il se devait d’être fidèle à la tradition chrétienne, avec mention de respecter la formation qu’il avait reçue d’elle et cela d’autant plus qu’elle avait fait de lui l’un des disciples de Jésus Christ, ne pouvant pas mélanger les rituels ancestrales et le christianisme.
Alors qu’il arriva au village, on l’epliqua l’objectif qui n’était autre que d’accepter de prendre le pouvoir ancestrale ( devenir mfumu)
Une confusion totale s’impose, comment concilier ce qui, dans un premier temps, apparaissait inconciliable ? Devait-il obéir ou non à l’injonction d’une chose contre sa volonté ?
Impossible, Blaise Blaise Bulabula décida de se déplacer au secteur Dwe, territoire de bulungu dans la même province de kwilu pour protéger sa vie, car l’intronisation était plus qu’une impérative.
Une fois au secteur, il alerta la police sur la situation, et cette dernière dépêcha aussitôt ses éléments pour s’imprégner et maîtriser la situation.
Les deux familles de commun accord, décident de lancer des recherches sans fin pour retrouver Blaise Blaise Bulabula enfin qu’il soit intronisé, car la tradition la voulait ainsi.
Sans succès, les deux familles s’accusent et une incompréhension sans fin s’installe.
Une guerre civile a vu le jour dans les deux villages, plusieurs dégâts matériels ont été enregistrés, des maisons brûlées, occasionnant même des blessures graves et mort d’homme, selon le bilan communiqué par le le chef de secteur Dwe Mr Bertin Mumbala.
Chose étonnante, la charge des dégâts incombe à la tête de Blaise Blaise Bulabula. Mais pourquoi ?
À en croire les familles et d’autres personnes du village qui, par manque de maîtrise de la situation, affirment faussement que c’est a cause de son refus que les dégâts ont été enregistrés, quelle désolation !
BLAISE BLAISE BULABULA À KINSHASA , LA SITUATION VA DE MAL EN PIS.
À la plus grande surprise de tous, alors que Blaise Blaise Bulabula se retrouvait déjà à Kinshasa, le 13 octobre 2021, une action judiciaire ( mandat de comparution) a été initiée au niveau de la justice congolaise au parquet de Kinshasa/ Kalamu dont voici les détails.
En homme innocent, Blaise Blaise Bulabula décida de contacter son avocat pour comparaître avec le seul objectif, connaître le vrai motif et l’initiateur de cette action judiciaire.
Une fois au parqué se Kinshasa Kalamu, l’avocat découvre plusieurs irrégularités tentant à nuire à l’image de son client.
Pendant ce temps, plusieurs enlèvement se multiplient, orchestrés par les membres de familles, dont les plus puissants cités ci-haut, professeur, Major et consorts étaient résidents à Kinshasa.
Selon Blaise Blaise Bulabula, il se décida de déposer une plainte contre inconnu à la police criminelle ( IPCRIME) et au parquet de Kalamu dans la ville province de Kinshasa, mais malheureusement, aucune solution n’a été trouvé. Pendant ce temps, les tentatives d’enlèvements se multiplient.
Mais, à l’espace de deux jours, une autre action judiciaire a été initiée, cette-fois c’est le 15 octobre, un avis de recherche est lancé contre Blaise Blaise Bulabula avec comme motif «Veillez rechercher activement le nommé Bulabula Blaise Blaise, inculpé du chef de viol d’enfant.», une surprise désagréable, pendant qu’il attendait une réponse favorable de sa plainte à la justice, troubles et retournement de situation.
Signalons qu’avant le lancement de l’avis de recherche, Blaise Blaise Bulabula avait reçu la confirmation de la justice, eu égard de sa plainte, qu’il sera répondu dans 3 jours ( sources judiciaires)
La justice congolaise étant incapable de sécurisé son citoyen, Blaise Blaise Bulabula devient un sujet de complot entre les familles et la justice avec objectif, l’éliminer pour satisfaire les familles.
Plusieurs questions se posent à savoir :
– Doit-on surbir une telle situation quand on refuse de porter les rituels ancestrales ?
– La justice doit-elle coopérer avec les particuliers pour ôter la vie d’un citoyen ?
– La justice n’est-elle plus équitable pour tous?
– Seuls les plus forts qui ont raison contre les faibles ?
– Doit-on accepter les rituels ancestrales et être intronisé par force contre sa volonté?
Cartes, plusieurs personnes ayant compris la situation en l’occurrence du chef de secteur Dwe, Mr Bertin Mumbala, affirment l’innocence de Blaise Blaise Bulabula et en appelle à l’implication personnelle du chef de l’État Félix Antoine Tshisekedi, car la justice congolaise étant corrompu, a démontré ses limites.
Par conséquent, au regard des informations claires, nettes et précises récoltées par notre correspondant sur place à kwilu et celles recoupées à Kinshasa pendant les tractations, nous affirmons et confirmons l’innocence de Blaise Blaise Bulabula.
Si la justice du monde semble être corrompue par des personnes puissantes et fortes, celle de Dieu tout puissant finira par intervenir.
Qui vivra verra dit-on
Rédaction