
À Kisangani, cela fait une semaine que l’eau ne coule plus dans les robinets. Ce manque touche de plein fouet les ménages et les structures sanitaires comme le centre de santé de Sayo, où les patients et le personnel sont contraints de recourir à des puits artisanaux, exposant ainsi la population à un risque accru de maladies hydriques, notamment le choléra.
Radio Okapi