Samedi 9 décembre dernier, l’Association des Jeunes Écrivains du Congo AJECO en sigle, a organisé une rencontre d’échange d’idées et des perspectives d’avenir autour de ladite association avec comme thème :  » Le point de rencontre « . C’est le Musée National de la République Démocratique du Congo qui a servi de cadre pour cette activité riche en littérature.

« Le Point de Rencontre » telle était dénommée l’activité de l’AJECO du 10 décembre au Musée National. Face à une trentaine des passionnés de littérature ayant pris part à cette rencontre, le Secrétaire Général ainsi que le Responsable du Projet d’installation des bibliothèques au sein des prisons, à tour de rôle, s’étaient évertué sur les points ci-après :

• La présentation de l’AJECO, ses projets et les modalités à remplir pour en devenir membre. En effet, devant
  les professionnels des médias, la présidente de L’AJECO Celena Ngoy a indiqué que cette rencontre de haute facture avait pour objectif promouvoir la littérature congolaise sur toute l’étendue du territoire national.

À l’en croire, ce colloque des jeunes écrivains du Congo a donné l’occasion aux membres de L’AJECO et tant d’autres jeunes amoureux de littérature de présenter leurs projets, initiatives et points de vues qui ont été débattus tout au long de l’activité.

Face à la situation, après avoir reçu les préoccupations de tout le monde, l’AJECO a promis de tout faire pour rallumer la littérature congolaise à chacun d’entre eux.

Pour se faire, l’un des membres de L’AJECO a procédé à la présentation du projet  » QUID « , qui a pour rôle de mettre en collaboration l’AJECO et les Chefs des établissements scolaires en RDC en vue d’organiser des ateliers de formation, pour initier les enfants vivants hors la prison (les élèves) à la littérature.

Notons qu’après l’inauguration de la bibliothèque carcérale de la prison centrale de Makala, L’AJECO projette inaugurer la bibliothèque de la prison centrale de de Kananga au mois de janvier 2023.

Signalons que comme une association apolitique, l’AJECO fonctionne avec

ses propres moyens, sans l’appui du Gouvernement congolais.

Jonathan Bafumvwa