
Dans une communication faite ce mardi dont la copie est sur la table du CHANGEMENT7.NET, la cellule de communication du Vice-Ministre de la Justice et Contentieux International, Me Samuel Mbemba informe l’opinion tant nationale qu’internationale que tout tout le monde a observé du 29 au 30 décembre dernier plusieurs publications du parti ENVOL sur les réseaux sociaux visant le numéro deux du ministère de la Justice, en rapport avec l’arrestation de Monsieur Merdi MAZENGO.
En effet, la cellule de communication de Maître Samuel MBEMBA KABUYA informe l’opinion que l’arrestation de Monsieur Merdi MAZENGO est liée, d’une part, à des faits de viol commis par ce dernier en juillet 2024 et, d’autre part, à l’infraction d’imputation dommageable qu’il a commise à l’endroit de Maître Samuel MBEMBA KABUYA à travers les réseaux sociaux, et pour lesquels il était en fuite à Brazzaville.

S’agissant de cette dernière infraction, Monsieur Merdi MAZENGO avait publié, le 23 octobre 2024, sur les réseaux sociaux que « le faux Député Israél BONDO était premier suppléant de Samuel MBEMBA et que ce dernier était révolté de se voir remplacé par la fille du Vice-Ministre à l’Assemblée nationale» . Ce qui est totalement faux.

Cependant, Merdi MAZENGO a enchaîné, durant pratiquement une semaine, son lynchage médiatique, allant jusqu’à soutenir que « Samuel MBEMBA ne répondait pas à ses publications parce qu’il était incapable de faire face à ses révélations accablantes ». Ces publications sont encore présentes sur les comptes réseaux sociaux de Merdi MAZENGO.
Telles sont les raisons de la plainte et de l’arrestation de Merdi MAZENGO. Ceci n’a rien de politique.
Quant à l’acharnement médiatique dont Maître Samuel MBEMBA KABUYA fait l’objet de la part du parti ENVOL qui, à priori, n’est pas concerné dans cette affaire, nos avocats n’excluent pas la possibilité d’une plainte contre le responsable statutaire de ce parti politique si cela continue.
La justice fera librement son travail et établira s’il y a une main politique derrière les comportements de Merdi MAZENGO, qui semble être, pour le moment, un délinquant ordinaire.
Cellule de communication Me Samuel Mbemba