Chaque jour qui passe donne une opportunité au lobbyiste et stratège en investissement, Patrick Onoya, l’initiateur du projet  » un hectare pour un étudiant  » de faire quelque chose de nouveau pour l’avancement dudit projet. Après l’Université de Kinshasa là où le projet à germé et l’Université Libre de Kinshasa là où il a été accueilli et accepté à bras ouverts par les étudiants de cet Alma mater, le projet a été présenté et admis à l’Université Pédagogique National, ce vendredi 13 octobre 2023.

Soucieux de diminuer le taux de mort des 18 enfants de 0 à 5 ans qui meurent chaque heure au Congo-RDC à cause de la malnutrition, Patrick Onoya a présenté le projet comme l’une des solutions efficaces pouvant servir à la République afin de sortir de la crise alimentaire qu’elle a toujours subit depuis des années.

Ayant bien accueilli le projet par le doyen de la faculté d’agronomie Antoine Mumba Djamba et l’ensemble des étudiants de cet établissement universitaire, ce stratège en investissement a souligné que, l’UPN à travers la faculté d’agronomie déclare qu’elle est partie prenante au projet avant d’indiquer qu’il a un sentiment de joie du fait que le projet soit accepté à tous les niveaux à cette grande institution académique.

Et d’ajouter :  » Nous avons 100.000 hectares de terres qui nous ont été données par le Chef coutumier de Songololo. l’UPN à travers la faculté d’agronomie dit qu’elle va apporté le maximum d’étudiants afin d’entrer dans ce grand défis celui de l’insuffisance alimentaire. Le programme alimentaire mondial déclare que, 27.000.000 des congolais souffrent de la faim dans un pays qui a 80.000.000 de terre arable « .

Pour ce faire, Patrick Onoya appelle les intellectuels congolais à se mettre en synergie pour résoudre le problème d’alimentation au Congo. Parlant du premier produit qui sera cultivé à Songololo, il a indiqué qu’à Kinshasa, c’est la culture du manioc qui a été choisie car, c’est celle qui évolue bien au Kongo Central là où le projet bénéficie de terres, mais aussi, parce qu’ils ont décidé d’entrer dans la dynamique du ministère de l’industrie qui veut faire du manioc une alternative au format du blé pour la consommation du pain.

Notons qu’après cette phase de la souscription, le projet entrera dans sa phase technique pour l’étude du terrain qui sera accompagné d’une descente à Songololo avec l’équipe de l’Université Pédagogique National conduite par la faculté d’agronomie et ensuite viendra la phase pratique au mois de décembre 2023 pour commencer à cultiver.

Rappelons que, le projet poursuit 3 objectifs notamment le développement de la culture agricole chez l’intellectuel congolais, la création de la culture entrepreneuriale et de la culture de l’investissement.

Jonathan Bafumvwa