
Kinshasa, 4 octobre 2025 – Après les attaques infondées dirigées récemment contre la Première Dame, une nouvelle campagne de désinformation vise désormais Antony Tshisekedi, fils du Chef de l’État.
Face à cette vague d’intox orchestrée sur les réseaux sociaux, l’Ambassadeur Jean Thierry Monsenepwo est sorti de son silence pour rétablir la vérité et dénoncer ce qu’il qualifie de « manipulations grossières et honteuses ».
Une campagne orchestrée et sans fondement
Dans sa réaction, l’ambassadeur Monsenepwo s’indigne de la légèreté avec laquelle certains acteurs, tapis dans l’ombre du numérique, diffusent des histoires inventées de toutes pièces, sans la moindre preuve tangible.
« Ces récits reposent sur des voix anonymes, des témoignages fabriqués et des accusations sans fondement. Pourtant, certains s’évertuent à y associer le nom d’Antony Tshisekedi, qui n’a absolument rien à voir avec ces élucubrations », a-t-il déclaré.
Selon lui, cette stratégie s’inscrit dans une volonté manifeste de ternir l’image du Chef de l’État à travers ses proches, en exploitant la viralité des réseaux sociaux comme arme de manipulation.
“La machine de la vérité finira toujours par triompher”
L’ambassadeur appelle à la vigilance et à la responsabilité des citoyens face aux fausses informations qui circulent sans vérification ni recoupement.
« La machine de propagande tourne à plein régime, mais elle ne sera jamais assez puissante pour ébranler la machine de la vérité », a-t-il martelé.
Jean Thierry Monsenepwo rappelle que les institutions de la République et les familles des dirigeants ne devraient pas être prises en otage par des campagnes malveillantes, souvent téléguidées par des intérêts politiques inavoués.
Un appel à l’éthique et à la rigueur journalistique
Pour conclure, le diplomate exhorte les médias et les utilisateurs des réseaux à privilégier la recherche des faits et la rigueur dans le traitement de l’information, au lieu de se faire les relais d’une désinformation organisée.
« Le mensonge fait du bruit, mais la vérité finit toujours par faire son chemin », a-t-il rappelé avec fermeté.

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