Dans une interview accordée aux chevaliers de la plume lors de la visite d’inspection des terres à Songololo dans le cadre du projet  »un hectare pour un étudiant », Alixon Beneyabo, membre du Club des Entrepreneurs aux Fronts Dressés C.E.F.D en sigle et l’une des étudiants bénéficiaires dudit projet, a expliqué que cette initiative a un avenir prometteur.

Juste après la ronde des terres au village Buila dans le territoire de Songololo, Alixon Beneyabo a indiqué qu’il est inadmissible en tant que membre du C.E.F.D et étudiante à la faculté des sciences économiques et de gestion de l’UNKIN, voir que la RDC a les potentiels nécessaires pour son développement et son autosuffisance alimentaire, mais elle continue de dépendre massivement des produits venant de l’extérieur.

Face à ce constat amer, l’étoile montante des sciences économiques de la colline inspirée laisse entendre que les étudiants congolais ne sont pas restés indifférents, le pourquoi ils se sont lancés dans le projet  »un hectare pour un étudiant « initié par le lobbyiste et stratège en investissement Patrick T. Onoya, afin de sauver le pays dans le secteur agricole.

En effet, « aujourd’hui, nous sommes sur le lieu pour faire une étude de milieu ainsi de développer des cultures des projets et de concrétiser pour nourrir non-seulement le territoire de Songololo, mais la capitale de Kinshasa, pourquoi pas toute la République en général« , Alixon Beneyabo.

Sur ce, ce membre du C.E.F.D a déclaré que, c’est possible avec cette initiative de relever le défi de la faim au Congo en offrant un hectare à un étudiant congolais, partant du coaching de Patrick Onoya et du doyen de la faculté des sciences économiques de l’Université de Kinshasa, Barthélemy Kalambay, qui ne cesse d’accompagner le projet depuis son début.

Et d’ajouter : « Je pense en tout cas que, ce projet a un avenir prometteur. Nous avons la bénédiction de propriétaires de ces terres, nous avons obtenu l’accès du Chef coutumier, Chef du clan ainsi que du Chef du village. Nous avons tout ce qu’il faut pour démarrer les activités « .

Par ailleurs, elle demande à tous les jeunes qui sont oisifs et qui ont perdus l’espoir de se lancer dans tel projet, par ce que c’est avec ces jeunes là que le Congo va se développer.

JSuana