
Le Front Commun pour le Congo, FCC en sigle, s’indigne de l’attaque, ce jour, de la résidence du Président de la République Honoraire, Joseph Kabila Kabange, par des inciviques portant les signes distinctifs du parti politique
UDPS.
Ci-dessous, communiqué.


COMMUNIQUE DU FRONT COMMUN POUR LE CONGO
Le Front Commun pour le Congo, FCC en sigle, s’indigne de l’attaque, ce jour, de la résidence du Président de la République Honoraire, Joseph Kabila Kabange, par des inciviques portant les signes distinctifs du parti politique
UDPS.
Le FCC condamne avec fermeté cette énième attaque de la résidence de son
Autorité Morale. Comme les précédentes, elle participe d’une stratégie de provocation et d’intimidation de la part d’un pouvoir pyromane, démagogue, incompétent et qui, face à l’absence de résultats, est de plus en plus aux abois et donc, en quête permanente de boucs-émissaires, d’incidents politiques et de troubles à l’ordre public pour détourner l’attention du peuple congolais de son incapacité à gouverner le pays, à garantir l’intégrité du territoire national, à assurer la sécurité de la population, et à préserver le pouvoir d’achat des congolais.
Le FCC exige que des poursuites judiciaires soient engagées en procédure de flagrance contre toutes les personnes directement ou indirectement impliquées dans cette attaque et que des sanctions sévères soient prononcées contre les coupables, afin de décourager toute récidive.
Prenant à témoin l’opinion nationale et internationale, le FCC rappelle qu’il avait dénoncé en son temps, sans être entendu, le danger que faisait courir à la nation la création d’une milice au sein de l’UDPS, en violation de la Constitution et des lois de la République.
Le FCC tient donc le pouvoir en place, initiateur et protecteur de ladite milice, seul responsable de l’attaque, ce jour, de la Résidence de son Autorité Morale, comme des actions tout aussi répréhensibles, mais jamais punis à ce jour, menées par la même milice contre plusieurs autres citoyens congolais à travers le pays.
Rappelant que la violence engendre la violence, le FCC tient le même pouvoir tout aussi responsable de toute conséquence éventuelle susceptible de découler de la frustration, chaque jour de plus en plus exacerbée, d’un peuple livré à la merci des hors-la-loi, dans l’indifférence, sinon à l’instigation des autorités investies de la puissance publique et qui donc, sont censées protéger ses droits.
A bon entendeur, salut !
Fait et rendu public, le 31 Juillet 2024
Pour la Conférence Elargie des Présidents,
Raymond Tshibanda N’Tungamulongo