Ce Jeudi 25 avril, plus sources confirment qu’à travers leurs avocats, les autorités congolaises accusent le géant américain du numérique « Apple » d’acheter les minerais stratégiques de la République Démocratique du Congo, exploités illégalement par des groupes armés soutenus par le Rwanda.
En effet, pour les avocats congolais, cette mise en demeure d’Apple tombe à pic, parce qu’au regard des engagements de traçabilité pris par cette firme à la pomme, il y a en creux un décalage entre le dispositif qu’elle prétend avoir mis en œuvre et la réalité sur terrain.
De son côté, Apple a, en réaction à ces accusations, par le biais de son rapport annuel de 2023 renvoyé à l’AFP -Agence France Presse-, indiqué n’avoir aucune base raisonnable pour conclure que sa chaîne d’approvisionnement a directement ou indirectement financé ou profité à des groupes armés opérant en République Démocratique du Congo, ou dans un pays limitrophe.
Rédaction