
Félix Tshisekedi ouvre la porte à un gouvernement d’union nationale, mais avec une mise en garde claire : seuls les « vrais patriotes » y auront leur place. « Je tends la main, mais jamais à ceux qui travaillent pour des intérêts étrangers », a-t-il prévenu lors d’une réunion stratégique avec les membres de l’Union sacrée ce samedi.
Une déclaration qui laisse entrevoir un remaniement politique sous haute surveillance.
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