Que des trophées,comme s’il en pleuvait ! Carine Ilunga Mutatshi va placé dans son hall of hame, une énième récompense.
Cette fois-ci, le trophée de la meilleure décoratrice Mongita Awards 4ieme édition qui est prévue en date du vendredi 16 septembre 2022, au musée national de la RDC. C’en raison de sa touche de génie dans le Film » J’ai perdu mon bébé » qui est une production du cinéaste congolais Guy Guy Diangikulua.
Au cours d’un entretien à bâton rompu avec la rédaction de votre média, changement7.Net, elle n’a pas tari d’exprimer son satisfecit au choix porté sur sa personne. Et d’égrener son parcours. Histoire d’encourager la gente féminine voire tout celui qui veux l’entendre , de ne jamais opter, demeurer un Mozart empoisonné
» Je rends grâce à l’Éternel pour ce choix de taille sur ma personne. Je peux dire que ce n’est pas un hasard, cela résulte de la grâce d’en haut, bien-sûr. mais aussi, d’un travail sérieux. » A lâché Carine Ilunga Mutatshi, comme appéritif.
Carine Ilunga n’est pas une pierre qui tombe d’en haut sans le secours d’aucune main. Moins encore, une eternelle novice dans l’industrie de cinéma au Congo. ses œuvres parlent mieux que ses paroles : » Depuis ma tendre enfance, je nourrissais l’envie de devenir un jour une grande star de cinéma. C’était un rêve auquel je devrais contre vents et marées accomplir. J’ai commencé par être comédienne à l’école maternelle. et c’est en sixième primaire que notre enseignant d’alors, décela le talent d’artiste qui sommeillait en moi et m’invita d’y penser sérieusement. Chose faite, à l’école secondaire, la très jeune Ilunga Mutatshi réussit à ramener un prix qui a enjaillé même le promoteur. » A-t-elle rappeler.
Elle ne s’est pas arrêté là : » C’est en 2009 à Kinshasa, que je me suis décidée de faire carrière d’artiste. Cependant, J’ai commencé le cinéma avec Elvis qui mal heureusement est passé de la vie à trépas, all in one de John Kadilu ou j’étais son Vice-presidente . J’ai aussi dans cette aventure côtoyé plusieurs personnes de marque qui m’ont Boostée. mais le plus mémorables demeurent, le manager DeJean-Paul Moka qui m’a recommandé d’aller au Sénégal, sans oublier Lolo Bibas, Claude Tumba et le réalisateur Balufu qui n’ont cessé de m’accompagné parce qu’ils croyaient en l’artiste que j’allais devenir, question de peaufiner mon talent. Je suis par la suite, revenue à Kinshasa très affûtée. preuve, j’ai eu à participer dans plusieurs films et séries tels que : » Coloré où j’ai incarné le rôle d’une puissante avocate, amour à 200 mètres où j’incarnais le rôle d’une patronne mais emmerdeuse insupportable, Pascaline, où je jouais le rôle d’une femme au foyer mais naïve, honorable Tukebana, où je remplissais le rôle d’une députée qui trompe son mari « .
*Coup de projecteur sur Carine Ilunga Mutatshi*
Carine Ilunga Mutatshi est une expression des amours associés entre Roger Ilunga Mutatshi et Léonie Kabudji Kuminga, intellectuelle pur jus des universités d’ici et d’ailleurs.
Star de la télé qui s’est plus d’une fois, Illustrée dans Vodacom Telecom, eau paani, eau Swista, derma clair lotion, orange Telecom et autres.
Outre sa casquette de cinéaste, Carine Ilunga évolue à la fois dans le social, par le truchement de sa fondation Carine Ilunga Mutatshi qui s’occupe des démunis, l’encadrement de la jeunesse et personnes à mobilité réduite où elle a glaner des récompenses telles que : Trophée d’excellence Mwasi ya Bwanya ( RTNC), Trophée Mosala Awards ( Maxi agency), diplôme de mérite en qualité d’assistante sociale de la ville de Kinshasa ( cercle des journalistes engagés de Kinshasa).
Dans le secteur politique, candidate malheureuse des scrutins de 2018, elle a été présidente des mamans de RCDN et 1ere Vice-presidente du parti MRJCO.
Grosso modo, Carine Ilunga Mutatshi encourage la jeunesse voire tout celui ou celle qui veut bien emprunter la voie de cinéma, de s’armer de beaucoup plus de motivation, courage, abnégation, dévouement, passion quelquesoit les surprises parfois désagréables qu’ils auront à rencontrer chemin-faisant.
On l’entendait répéter simultanément 2 anecdotes :
Primo: »_ On ne fait pas d’omelette sans casser les oeufs.
Secundo :- il n’existe d’héros sans histoire.
Que le combat ne te fasse perdre de vue l’objectif, courage ».
Taty Jimmy
1 Commentaire
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