Devant les professionnels des médias nationaux et internationaux, samedi, au cours d’une conférence de presse, Mr François Lusanga Ngiele a déclaré qu’il est l’un de ceux qui n’ont jamais quitté l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS) et il est le grand archiviste de cette famille politique. Ensuite, il laisse entendre qu’il est parmi ceux qui s’étaient sacrifié pour la cause du peuple au sein du parti.

Selon lui, il faut d’abord que la justice se prononce contre la violation des statuts du parti politique Udps des Fondateurs et contre tous ceux-là qui se sont faits autorités morales de l’Udps X ou Y.
« Ils se sont attribués le nom Udps sans titre ni droit, ils seront tous poursuivis et obligés de dédommager les Fondateurs avec non-seulement les amandes colossales en millions de dollars, mais et surtout obligés d’enlever l’épithète Udps de leurs partis politiques sans oublier les sanctions pénales pour faux et usage de faux. Les amendes à payer seront calculée suivant les années de violation des règles de l’Udps », a-t-il expliqué.

Et d’ajouter : « Et ça sera justice, on sera prêts à frapper à toutes les portes de la justice à n’importe quel Pays pour aider tous les anciens rejetés après avoir leur arraché leur parti pour lequel ils s’étaient sacrifiés pendant plusieurs décennies. À ne pas oublier que personne de ces faux partis n’a son arrêté propre lui délivré par le ministère de l’intérieur ».

Dana la même logique, il a fait savoir que Étienne Tshisekedi n’a jamais été élu encore moins choisi président de l’UDPS par les collègues des fondateurs dudit parti.

À l’en croire, il a sacrifié sa vie pour ce parti il ne pourra jamais même pour une seconde commettre l’erreur de laisser cette famille politique parce que toute sa vie c’était l’UDPS car il a beaucoup perdu pour ça, a-t-il expliqué à la jeunesse.

À sa qualité de membre du groupe de 13 parlementaires et fondateurs de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social (UDPS), étant porte-parole du parti, il a toujours été sollicité par plusieurs personnes qu’il leur donne l’historique du parti. 

Depuis quelques années, il a commencé à répondre aux différentes questions avec l’appui de quelques documents et photos qui pouvaient leur donner le courage d’adhérer à l’idéologie et aux objectifs fixés au sein de ce grand parti politique du Congo mais pour l’union et la cohésion des membres fondateurs du parti, il garde des documents clés c’est-à-dire : des documents secrets telles que les erreurs politiques de quelques membres de 13 parlementaires et fondateurs de ce grand parti, les documents montrants des contradictions entre eux, les actes de trahison ne pourraient pas être à la disposition du public et c’est pour l’intérêt de l’UDPS qui venait de s’étendre dans le pays à l’époque.

Il appelle les membres de l’Union pour la Démocratie et le Progrès Social à rester souder et déterminer pour défendre la bonne cause et à ne pas monter au public toutes leurs faiblesses. « Il fallait garder secret tout ce qui pouvait nous fragiliser et nous diviser », a-t-il insisté. 

En autre, son mecontentement aussi est que ce qui dirige le parti actuel ont refusé sa candidature aux élections de 2023 dans la Province de Lomami en temps que candidat de l’udps tshisekendi pendant qu’il est fondateur du parti et il a fait l’a beaucoup fait pour la campagne du chef de l’état dans cette partie du pays.

Il a par ailleurs présenté tous les documents de la création du parti devant la presse. En effet, François Lusanga révèle que tout ce qui se passe aujourd’hui au sein du parti ne cadre pas avec l’idéologie des pères fondateurs.

Au nom des collègues fondateurs et de tous les anciens de l’UDPS vivants et morts, François Lusanga a remercié tous les professionnels des médias nationaux et internationaux qui ont pris part à cette conférence.

Notons que, sur les 13 parlementaires et fondateurs de l’UDPS, seulement 4 qui sont restés vivants, entre autres Charles Dia Onken, Paul Kapita Shabangi, Lumbu Maloba  Ndiba et Francois Lusanga Ngiele qui a présidé ladite conférence de presse à l’absence de ses collègues. 

JSuana