
Face aux préoccupations exprimées par de nombreux cadres, combattantes et combattants de l’UDPS/TSHISEKEDI, le Secrétaire général ad intérim, Déo Bizibu, a reconnu la légitimité de leurs plaintes.
Parmi celles-ci figurent la sous-représentation du parti dans les gouvernements national et provinciaux, l’absence d’occupation de postes stratégiques censés revenir de droit à l’UDPS, ainsi que l’indisponibilité des cartes de membre depuis 2019.
Pour M. Bizibu, ces revendications sont « indiscutablement fondées » et appellent une réponse urgente. « Aux grands maux, les grands remèdes », a-t-il déclaré, invitant la direction et la base à agir dans les plus brefs délais pour rétablir la place du parti au sommet de la vie politique nationale.
Le Secrétaire général a également rappelé que l’UDPS/TSHISEKEDI devait être hissée au niveau prestigieux du Sphinx de Limete, feu Dr Étienne Tshisekedi wa Mulumba, « d’heureuse mémoire », figure emblématique dont l’héritage exige persévérance et dignité dans la lutte.
« Tenons bon… », a-t-il conclu, en signe d’encouragement et de fidélité à la vision fondatrice du parti.
Rédaction