Dans un pays où la jeunesse est au cœur du développement, des jeunes aguerris comme Timothée Lenoir Efika mériteraient une meilleure reconnaissance pour leur loyauté et leur fidélité aux institutions ainsi qu’au Président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi.
Depuis que l’agression rwandaise contre la RDC ne fait plus de doute, nombreux sont les politiciens proches du pouvoir qui ont adopté le silence comme mode de vie. Pourtant, certains, comme Timothée Lenoir Efika, osent monter au créneau pour dire tout haut ce que d’autres murmurent à voix basse. À travers ses interventions médiatiques, il dénonce avec courage les actions de Paul Kagame et de ses complices, pointant du doigt les conséquences désastreuses de cette guerre sur la souveraineté et la stabilité du pays.
Malgré son engagement constant depuis le premier mandat du Président Tshisekedi jusqu’à son second, cet homme aux initiatives socialistes reste pourtant dans l’ombre. Pourtant, son travail auprès du Chef de l’État et sa mobilisation patriotique mériteraient une reconnaissance à la hauteur de ses efforts.
Alors que certaines nominations n’apportent que peu d’impact à la République, ne serait-il pas temps de donner leur chance aux fils et filles du pays qui militent sans relâche, avec des initiatives bénéfiques pour toutes les couches de la population ? Valoriser ceux qui se distinguent par leur dévouement n’est pas seulement une question de justice, mais aussi une nécessité pour encourager l’émergence d’une élite patriotique capable de défendre les intérêts du pays.
En cette période de guerre, où beaucoup ont montré leurs limites, Timothée Lenoir Efika continue, avec ses moyens modestes, à faire entendre sa voix. À travers ses interventions télévisées et son activisme, il affirme son soutien indéfectible au Président Félix Tshisekedi et aux institutions de la République.
Le patriotisme ne se limite pas aux discours ; il exige aussi que ceux qui s’engagent pour le bien du pays soient soutenus et valorisés. La RDC, en quête de stabilité et de développement, gagnerait à reconnaître et à encourager ces combattants de l’ombre.
JSuana
