Depuis l’avènement du Gouvernement Suminwa, le nom de Constant Mutamba s’impose dans le paysage congolais comme celui d’un réformateur engagé et infatigable. Ministre de la Justice, il incarne avec détermination la vision du Chef de l’État, Félix-Antoine Tshisekedi Tshilombo, en insufflant un nouveau souffle à un secteur longtemps décrié. Ses actions concrètes, visibles et saluées, dérangent. Et c’est bien là que le bât blesse.
Infrastructures pénitentiaires modernisées, soins de qualité, meilleure alimentation des détenus, réinsertion par la formation, réformes juridiques, états généraux de la justice, lutte contre le phénomène kuluna : le bilan de Constant Mutamba, en si peu de temps, est plus qu’éloquent. Il gêne. Il dérange. Il suscite jalousies et rancœurs dans les rangs de ceux qui ont échoué à réformer et qui redoutent sa montée.
C’est dans ce contexte que surgit une accusation aussi grave que floue : le prétendu détournement de 39.000.000 USD. Une somme colossale qui, à première vue, ferait frémir n’importe quelle conscience. Mais à y regarder de plus près, l’affaire ressemble davantage à une opération de sabotage politique qu’à un véritable scandale financier.
Car que dit-on réellement ? Rien de précis. Aucun document de paiement, aucune preuve de virement illicite, aucune trace d’un compte qui rattacherait cet argent au Ministre. Pas même un début d’élément matériel ou moral permettant d’établir une infraction. Du vent. Une cabale soigneusement montée, sans la moindre base légale ni logique comptable.
À travers cette campagne de diabolisation, ce sont les ennemis de la République qui se dévoilent : ceux qui ont intérêt à maintenir la justice dans la corruption et l’inefficacité ; ceux qui voient en Mutamba un empêcheur de tourner en rond ; ceux qui craignent l’émergence d’un nouveau leadership, jeune, compétent et incorruptible.
Le peuple n’est pas dupe. Le Président de la République, garant de l’intégrité de son équipe gouvernementale, saura reconnaître l’œuvre d’un homme engagé au service de la Nation. Constant Mutamba mérite non seulement d’être défendu, mais d’être soutenu dans sa mission de redorer le blason de la justice congolaise.
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