Depuis son élection comme gouverneur du Haut-Uélé, Jean Bakomito est la cible d’attaques répétées. Mais au-delà des critiques apparentes, c’est une rupture avec les anciens systèmes d’intérêts que ce nouveau leadership provoque. Car en s’inscrivant dans la vision du chef de l’État, en prônant la transparence et le développement de proximité, Bakomito bouleverse des équilibres longtemps établis. Voici les véritables raisons de cette cabale.
1. Une défense assumée de la vision présidentielle
Jean Bakomito s’est positionné dès le départ comme un allié loyal du président Félix Tshisekedi Tshilombo.
Son ambition : ancrer le Haut-Uélé dans la dynamique nationale de développement, en misant sur la réhabilitation des services publics, des infrastructures et une gouvernance centrée sur les résultats.
Il rejette l’idée d’une province utilisée comme retrait stratégique pour certains groupes politiques, et préfère en faire un pôle de progrès.
C’est cette cohérence avec la vision présidentielle qui dérange certains milieux, pour qui l’autonomie des provinces servait à consolider des réseaux parallèles.
2. La fin d’un bastion réservé à des intérêts opaques
Le Haut-Uélé fut longtemps vu comme un terrain de manœuvre pour les intérêts informels, notamment liés à l’ancienne gouvernance provinciale ou à des figures comme Corneille Nangaa.
Jean Bakomito a commencé à démanteler ces dynamiques :
- En suspendant des exploitations minières illégales ;
- En intervenant auprès des populations vulnérables ;
- En instaurant un principe de redevabilité directe avec les citoyens.
Ses décisions brisent les zones grises. Pour ceux qui y prospéraient, le changement dérange, donc ils attaquent.
3. Des résultats concrets qui dérangent le statu quo
Il n’est pas gouverneur pour l’image. Depuis 2015, aucun chef de l’exécutif provincial ne s’est autant engagé dans la transformation de fond.
Parmi ses réalisations :
- Un programme en 7 piliers stratégiques (2024-2028) : routes, santé, électricité, eau, sécurité, etc.
- Des appels à la paix intercommunautaire, particulièrement dans les zones de conflit territorial.
- Un soutien affiché aux FARDC, notamment à Isiro.
- Une distinction reçue aux “Haut-Uélé Awards”, saluant ses efforts politiques.
Ces actes le rendent crédible et visible, ce qui dérange les tenants de l’ombre.
4. Pourquoi maintenant ?
Plusieurs raisons expliquent le timing des attaques :
- La fin de l’impunité dans certaines filières économiques locales.
- Une visibilité accrue, nationale et internationale, du gouverneur.
- La fermeté de son alignement avec la politique du président Tshisekedi.
Jean Bakomito devient ainsi un verrou contre la récupération politique de la province.
5. Message à la population du Haut-Uélé
Les attaques contre Jean Bakomito ne sont pas que politiques — elles visent vos attentes, vos droits et vos espoirs.
Il faut le dire clairement : bloquer le gouverneur, c’est bloquer votre avenir.
Soutenir Bakomito, c’est choisir :
- Des infrastructures durables
- Une gouvernance transparente
- La fin des pratiques d’un autre temps
- La fierté d’un Haut-Uélé debout
Jean Bakomito ne gouverne pas pour entretenir un système, mais pour le changer.
Il ne joue pas à la politique de façade, il agit, et c’est cela qui suscite tant de réactions.
Alors oui, il dérange, parce qu’il avance. Et dans un pays en quête de renouveau, il faut parfois faire le choix du bruit du progrès, plutôt que le silence complice de l’immobilisme.
