
Tandis que certains s’interrogent sur l’absence de réaction publique d’ALERTE-RDC face au discours de l’ancien président de la République, Jeef PAMBI, son administrateur principal, remet les pendules à l’heure et réaffirme la ligne claire du mouvement : lucidité, indépendance, et priorité à la refondation de l’État.
« ALERTE est la tête, non la queue », tranche Jeef PAMBI. Dans une mise au point qui tient autant du manifeste que de la mise en garde, l’administrateur principal du mouvement ALERTE-RDC répond aux critiques avec une clarté implacable :
« Éclairée, ALERTE montre le chemin, oriente dans la vérité, dans l’objectivité et en toute indépendance d’esprit, pour sauver la nation. »
Alors que certains s’attendaient à des réactions à chaud, ALERTE-RDC privilégie la profondeur à la précipitation, l’analyse à l’émotion. « Nous ne nous laissons ni dompter, ni séduire, ni emporter par ce qui va à l’encontre de l’intérêt général du peuple congolais », précise Jeef PAMBI.
Une boussole nommée “Refondation”
À ceux qui cherchent à instrumentaliser le silence du mouvement, Jeef PAMBI rappelle l’essence même d’ALERTE-RDC :
« Le mot clé, c’est la Refondation de l’État. C’est notre boussole, notre mission première. »
Derrière l’acronyme ALERTE (Alternative Laïque Engagée pour la Refondation Totale de l’État), une vision : celle d’un Congo réinventé, reconstruit sur des fondations solides, loin des manipulations politiciennes et des réflexes d’alignement aveugle.
« Aveugles intellectuels » et lucidité militante
PAMPI n’épargne pas ceux qu’il qualifie d’« aveugles intellectuels », croyant à tort être parvenus alors qu’ils s’égarent dans des postures sans fondement.
« La portée réelle de notre action échappe encore à certains. Mais nous avançons, conscients, suivis, et fidèles à notre mission. »
Avec cette sortie, Jeef PAMBI remet ALERTE-RDC au centre du jeu : non comme un commentateur de l’instant, mais comme un acteur de fond, intransigeant sur ses valeurs et résolument tourné vers un seul horizon : la refondation totale de l’État congolais.
JSuana